Au lendemain de l’annonce d’un couvre-feu (interdiction d’être à l’extérieur après 20h), le POPIR-Comité Logement constate que les personnes qui seront davantage touchées sont les personnes qui n’ont pas de logement ou qui vivent dans des conditions de logement indécentes (logement trop petit, moisissures, punaises, etc.).
Non, il n’y a pas de place pour toutes et tous dans les ressources en itinérance. Et même là, les gens ont besoin d’un logement, d’un toit digne et sécuritaire.
Les comités logement et leurs regroupements le FRAPRU et le RCLALQ, les organismes en itinérance s’entendent tous pour dire qu’il faut plutôt développer des mesures sociales, investir dans les logements sociaux, dans les services sociaux et publics.